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LA DECOUVERTE INEDITE DU CALENDRIER SECRET

« C’était pourtant pas si compliqué d’y entrer, pour ensuite tout dérouler... ! »

Le livre qui va révolutionner toutes les recherches produites jusqu'à maintenant sur les mystérieux écrits prophétiques rédigés voilà plus de 450 ans par l'intrigant personnage, avec des résultats surprenants à la clé.

2017 !

Le livre Nostradamus énigme du midi

2022 !

Publication à compte d'auteur : février 2016  .  ISBN 978-2-9556039-0-1  .  Format 24 x 17 cm  .  328 pages  .

Une affirmation ne vaut que si elle est démontrable. Et les faussaires toujours démasqués un jour ou l'autre dans chaque domaine. Tout n'est immanquablement qu'une histoire de temps pour poser les verdicts.

Nostradamus, à le lire, était visiblement persuadé que son propre fils César, pouvait élucider au cours de sa vie, les "codes d'accés" introduits par son père dans ses textes obscurs. Ne restait plus qu'à essayer de les trouver...

( Après la lecture de l'article qui suit, les lecteurs qui souhaiteraient passer commande du livre, trouveront les coordonnées nécessaires à cet effet au bas de l'article )

A PROPOS DE L’AUTEUR DE L'ENQUETE

 

Versé professionnellement dans le stylisme, le design et l’architecture d’intérieur. Passionné d’Histoire des civilisations, il aborde le domaine qui touche aux croyances et aux religions avec un regard de scientifique, d’agnostique et de libre penseur.

 

 

 

 

 

 

AVANT-PROPOS A MON LIVRE

 

Enquêteur dans l’âme, mon investigation au coeur de l’oeuvre réputée insoluble de l’intriguant personnage, allait progressivement remodeler ma donne intellectuelle initiale. Qu’en est-il de la légende et qu’en est-il du possible ? Ne restait plus qu’à continuer à chercher, depuis ma découverte initiale de nouvelles pistes et d’indices totalement inédits. Pour enfin aboutir au début de cette année 2016, à la publication de mon livre argumentaire : « Nostradamus énigme du Midi et le mystère de Carcassonne ». Si le sous-titre se distingue par : « Elémentaire docteur Watson » ; phrase emblématique du célèbre Sherloch Holmes de fiction, que « j’invite » à intervenir quelques fois au fil de mes pages... c’est afin de rendre ce mystère, aussi bien interactif que plus léger auprès des lecteurs.

Avant d’entrer dans le vif du sujet qui ne dépeindra dans cet avant propos, que « la porte d’accès du code » de façon totalement novatrice ; posons d’abord un peu d’histoire puis quelques postulats souvent ignorés d’un large public.

Michel de Nostredame, de son nom de plume, Michel Nostradamus, est né le 14 décembre 1503, en France, à Saint-Rémi-de-Provence, non loin d’Avignon. Il consacra l’essentiel de sa vie à une pratique assidue de la médecine, avec de multiples points d’orgues marqués par une lutte acharnée souvent fructueuse dit-on, contre des épidémies de peste qui se propagèrent dans le sud du pays. Ce qui fit de lui, sous cet angle précis d’observation de son existence, un homme altruiste, courageux et téméraire, pour avoir été de ceux qui osèrent aller se risquer, au coeur de ce terrible fléau ravageur contre lequel rien ou presque ne pouvait résister. Entré dans l’automne de sa vie, il étonna ses contemporains, tant en France qu’à l’étranger, en publiant d’étranges écrits intitulés : « Les Prophéties de Maîstre Michel Nostradamus ». Récits multiformes censés nous dévoiler sous une inspiration prétendue divine, l’avenir. Il se plaça de ce fait, au très rare rang de prophète. Laissant cependant aux générations futures la liberté d’en juger. Son livre phare mondialement connu depuis lors, se compose de 2 longues lettres (la lettre à son fils et la lettre au roi), et de 10 chapitres, comprenant chacun 100 quatrains numérotés de 1 à 100. Le 7ème chapitre est curieusement resté incomplet, qui ne compte que 42 quatrains contrairement aux 100 usuels. Bien qu’il déclare textuellement, avoir : « parachevé la milliade » ; donc numériquement les 1000. Chacun de ces chapitres est désigné par le terme générique de : Centurie. Il décéda le 2 Juillet 1566 à Salon-de-Craux, l’actuel Salon-de-Provence. Ville qui lui consacre depuis l’année 1992 un musée, dans la demeure où il vécut durant les vingt dernières années de sa vie. Il reste obstinément aux yeux de certains comme le plus grand des prophètes, pour d’autres, un imposteur du début à la fin.

L’on dit qu’il aurait prophétisé, la mort du roi Henri II lors d’un tournoi de chevalerie, le grand incendie de Londres, la révolution française, l’avènement de Napoléon Ier, Hitler et la seconde guerre mondiale, pour ne mentionner ici que cette infime poignée. Le tout empreint par le passage dévastateur de trois Antechrists, avant que n’advienne pour le genre humain, une libération mondiale enfin salvatrice. Et à d’autres de rétorquer, balayant le tout d’un rigide revers de manche, que ses prédictions sont tellement vagues et scabreuses, que chacun peut y trouver ce qu’il veut bien y trouver. Un décorum d’images animées, que de nombreux documentaires audiovisuels mettent maintenant à la portée d’un large public par l’effet d’un simple clic via internet : Dailymotion ou Youtube...

 

Si son œuvre est nimbée d’un nombre incalculable de voiles, capables de rapidement détourner tout curieux sans persévérance ni méthode, Nostradamus semble pourtant préciser qu’au bout de 500 ans, ( complets ou relatifs ? ), ses écrits seront enfin élucidés et compris. Une interprétation défendue à la barre par ses partisans, sur la base du quatrain ci-dessous :

 

III-94 ( 3ème centurie, 94ème quatrain )

De cinq cens ans plus compte l’on tiendra,

Celuy qu’estoit l’aornement de son temps :

Puis à un coup grande clarté donra,

Que par ce siècle les rendra très contens.

 

Les deux interprétions généralement de mise sur la période de 5 siècles, destinée à l’hypothétique compréhension globale, sont respectivement les suivantes :

Première hypothèse : l’année 2003, pour ceux qui la font débuter en 1503, année de naissance de l’auteur. Ce qui me semble assez incohérent, compte tenu que ce quatrain est une des composantes de la première partie de sa «trilogie» datée et publiée en 1555, ce qui porterait alors en 2054 tout au plus.

 

Deuxième hypothèse : en 2065, pour ceux qui débutent le décompte en 1566, l’année de sa mort.

 

La première option, 2003, est d’ores et déjà à totalement écarter, puisqu’en 2003, rien n’est venu subitement apporter une : « grande clarté, qui par ce siècle les ( nous) rendra très contents ». La seconde projection plus courante ( 2065 ) n’étant pas encore advenue pour pouvoir en juger. Cependant, c’est bien numériquement le milieu du 21ème siècle, que Nostradamus semble visiblement pointer sous cette formule destinée venir nous éclairer un jour davantage.

 

Puis le temps passa depuis ses écrits. Un délai largement suffisant pour pouvoir au moins globalement en juger avec soin. Délai durant lequel fut publié une quantité d’ouvrages allant toujours grandissante. Le tout, avec ses pics de théories nouvelles, à chaque fois que l’Histoire des nations s’entrechoque de part et d’autre de lignes Maginot fluctuantes. Une multitude d’analyses pas toujours très persuasives de prime abord pour tout lecteur ou lectrice lambda.

 

" 1981, l’ouvrage que l’on pensait poussiéreux et caduque refait soudain sensation "

François Mitterand

Au mois de mai 1981, une affirmation portée avec force et conviction par l’obstiné chercheur, Jean-Charles de Fontbrune, auprès de plusieurs médias français, fait aussitôt sensation : « Nostradamus l’avait exactement prédit ! ».

 

Sous l’égide de « La Rose », figure symbolique de son parti, le socialiste, François Mitterrand vient d’être élu président de la République, le 10 mai.

Un soutien royal, pas toujours perçu en odeur de sainteté, par une partie du clergé Catholique d’antan, et d’une totale hérésie aux inhalations de soufre révulsif, dans le camp du courant réformateur Protestant.

 

« Monstr(e)adamus : telle peste est pour infecter le peuple, à l’ouir caqueter. Ce menteur à vingt-quatre carats. Ce sorcier qui le monde trompe. Puis qui nous forge un autre Dieu... »

 

Extraits ci-dessus d’un pamphlet le visant. Ce qui en dit assez long du climat de considération dans le camp de ses impénitents opposants.

 

Bien entendu, ceux-ci n’eurent pas l’occasion de vivre assez longtemps et pour cause, pour apprendre un jour : que l’Angleterre alors infime nation lorsque Nostradamus lui accorda privilégiement sa clôture, connaîtrait contre toute attente l’exact avenir que celui-ci lui avait prédit ! L’Angleterre devint effectivement un Empire. Un empire qui prit sa racine exponentielle à compter de 1703, profitant d’une alliance tournant à son avantage avec le Portugal, qui débuta quant-à lui son déclin (Les Lusitains n’en seront pas contents !).

Rien n’arrêta l’expansionnisme Britannique sur les cinq continents. L’Angleterre devança par sa puissance toutes ses rivales sur la scène internationale dès l’instant, jusqu’à la seconde moitié du 20ème siècle, où débute alors la période de décolonisation. En conservant néanmoins de nombreuses nations sous l’égide représentative de la couronne Britannique, sous l’appellation du Commonwealth, comprenant entre autres : l’Australie, le Canada, la Nouvelle-Zélande, etc. Elle reste à ce jour dans l’Histoire, l’empire le plus important toutes catégories confondues que monde ait connu ! Et ce, pendant une durée qui peut très officiellement se mesurer sur : 3 siècles voire légèrement plus !!! Soit, tout à l’identique que ce que Nostradamus, avait effectivement pris le soin de devoir préciser !

 

Autant dire en un mot : BINGO !

 

Si le silence est le stade ultime de la sagesse, l’étude, l’analyse et la synthèse sont quant-à elles l’apanage au moins du chercheur. Comment se fait-il dans ce cas, que des chercheurs contemporains, opposants notoires du personnage, parmi lesquels les universitaires émérites : Roger Prevost, Jean-Claude Pecker, Jacques Halbronn et consort, nous disent sans sourciller à chaque thèse ou interview, que : « Nostradamus n’a absolument jamais rien prédit ». Soit en deux mots largement insuffisants au regard d’une certaine logique historique  :  Dormez en paix braves gens ; rien à voir ni à comprendre de ce côté là !

 

LA QUESTION QUI SE POSE

 

La question qui se pose est par conséquent la suivante : Comment Nostradamus pouvait-il savoir des siècles à l’avance, sans le moindre repère avant coureur qui soit, que l’Angleterre viendrait à connaître un tel destin ? Comment se fait-il également, qu’il en ait aussi mentionné l’exacte durée ?

Autant dire : Qu'en matière de prophétisme, nous sommes face à un exploit tous critères confondus, qui ne semble n'avoir nulle part son pareil.

 

Si les exégètes partisans du personnage attachent pourtant un grande importance au contenu de ce quatrain étonnant, l’on peut s’étonner de ne trouver de leurs parts, qu’un argumentaire souvent noyé au milieu de thèses souvent peu persuasives et décousues, que peu de lecteurs lissent avec attention du début à la fin. Quant-aux documentaires audiovisuels produits durant ces deux dernières décennies, cette précision annonciatrice, semble avoir été volontairement oubliée aux différents montages. Et laisser plutôt une large place contradictoire en point final à ses néo-détracteurs. Etrange approche médiatique, n’est-il pas ?

 

Un voyage commence toujours par un premier pas, une enquête toujours par un premier indice. Aussi, sans avoir à se disperser trop vite, au risque sinon de passer à côté d’un détail important, une question non des moindres coulerait ici de source. Une question qui se résumerait par : Nostradamus, aurait-il également su positionner dans le temps calendaire du second millénaire, sa formule exprimée par : « des ans plus de trois cent » ?

En employant l’article défini : « des », quelque chose laisserait supposer qu’il aurait parfaitement su où les situer par lui-même, sans pour autant l’exprimer.

 

Si tel venait à être réellement le cas, par un mode de décryptage à découvrir, puis facilement compréhensible par tout un chacun et chacune une fois exposé, l’on serait alors certain, d’être totalement passé à côté de l’essentiel composite et détaillé de son oeuvre depuis plus de 450 ans maintenant. Et matière il va de soi, à totalement relancer le débat sur ce plus que mystérieux personnage d’antan !

 

Un nouveau débat qui ne manquera sûrement pas. Ceci étant pressenti à mon sens, puisque son code secret qui fait apparaître suffisamment de dates insoupçonnées jusqu’ici, allait s’articuler prioritairement dans sa composition globale initiale, autour d’une année maintes fois cryptée et encore très lointaine de lui : l’année 2017, puis par extension corrélative directe et induite, 2022 ! Le tout en lien privilégié avec la France de façon spécifique... Ce qui ne fera qu’augmenter bien évidemment la curiosité du résultat obtenu par l’intrigue... Pour ne citer futorologiquement ici que ceci.

 

Etrange, n’est-ce pas ?

Un sujet si vaste avant et après, que cette introduction ne fait que très partiellement survoler.

 

Personnellement, je ne crois que ce que je vois ! Pour le reste, de la précision, sinon rien !

 

Nostradamus prétendait que les codes ouvrant la porte de son calendrier dissimulé, pouvaient être découverts dès la génération de son propre fils ; c'est désormais chose faite et publiée.

 

A découvrir dans mon livre : « Nostradamus énigme du midi...» .

 

Prophète ; vous avez dit prophète ?

De la précision sinon rien !

 

José Martin

Trois jours plus tard, le 13, le Turc, Mehmet Ali Agca, tente d’assassiner le Pape Jean-Paul II, sur la place Saint-Pierre à Rome. Plusieurs coups de feu tirés presque à bout-portant. Le souverain pontife en sortira presque miraculeusement sain et sauf, après quelques mois d’une lourde convalescence.

 

1 ) On ne parle pas encore, en ce qui concerne le premier point, du nouveau remodelage idéologique, que connaîtra rapidement une grande partie de l’Europe, entre les mains désormais des grands maîtres officiants des instances Européennes de Strasbourg et Bruxelles. Nouvelle oligarchie lobbyiste et totalitaire, si l’on s’en tient à des avis populaires allant grandissant, d’un bout à l’autre d’échiquiers politiques européens, plus de 30 ans après ce tournant quasi dogmatique.

 

2 ) Tout comme l’on n’évoque pas au sujet de l’attentat sur le Pape, d’un nouvel appel au Djihad, sous le couvert non revendiqué d’un visage que l’on pensait amplement plus serein ou éteint.

 

Cependant, une chose fut certaine dans les rangs des « Eclaireurs à l’avant-garde du temps » : en l’espace seulement de trois jours, un nouveau décor fut planté.

La théorie de Jean-Charles de Fontbrune sur les deux points survenus à trois jours d’intervalle, allait reposer sur l’existence depuis 1555, du quatrain ci-dessous :

 

II-97

Romain Pontife garde de t’approcher,

De la cité que deux fleuves arrose,

Ton sang viendra au près de la cracher.

Toy & les tiens quand fleurira la rose.

 

Ces quatre lignes de vers, allaient se propager aussi rapidement qu’une traînée de poudre, aux quatre coins de la planète médiatique internationale dans l’actualité du moment. Et à Nostradamus, que l’on pensait définitivement relégué au fond d’étagères poussiéreuses presque oubliées hormis d’une modeste poignée, de se rappeler soudain à nous, depuis les usines de chez Renault, jusqu’aux salons des ambassades richement décorés.

 

Force est de reconnaître que la courte imagerie textuelle, illustrait assez bien ce qui venait de se produire dans ce tourbillon de printemps. Cela néanmoins à un détail littéraire non conforme : la ville de Rome n’est absolument pas parcourue par deux fleuves, comme il y est précisé. A ceci, Jean-Charles de Fontbrune, rétorquera plus tard, que l’agenda diplomatique du Pape, prévoyait bien en 1981 une visite en France à Lyon, ville traversée par le Rhône et la Saône. De sorte qu’après le tragique événement, ce voyage Papal dans la capitale des Gaules fut reporté en 1986.

 

Le Vatican étant l’antre traditionnel du secret, et Michel de Nostredame bien connu dans ses murs, on peut augurer que l'interprétation du chercheur français, ne passa pas inaperçue. J’observais pour ma part cette rhétorique enflammée surgie d'un autre âge avec un certain scepticisme. Cela réveillait néanmoins en moi le souvenir d’une ancienne image d’Epinal rencontrée sur les bancs d’écolier. Puis, sur ces deux entrefaits redondants, quinze ans passèrent avant que je me procure à mon tour une édition des fameuses prophéties. C'était en juillet 1996 après m’être penché quelques jours plus tôt sur la vie de quelques mystiques françaises du 19ème siècle. J'étais loin d’imaginer alors, l'aventure dans laquelle je venais de mettre les pieds.

S’il est un sujet auquel je n’aurais jamais songé un jour m’intéresser d’aussi près, jusqu’au point d’avoir à très vite m’y spécialiser, c’est bien celui-ci. Pourtant étape après étape, j'ai fini par aboutir à la découverte d’un calendrier d’avenir prophétique lointain, pléthorique et précis, minutieusement composé et savamment dissimulé par celui qui reste encore de nos jours un mystère. Un mystère indiscutable, pour ceux qui l’auront un minimum et surtout raisonnablement étudié.

 

« Attention à l’accumulation de fausses vérités qui sont légions de nos jours ! »

 

A ce stade, il est important de noter, face à l’accumulation actuelle de légendes "Urbaines" qui le visent, que ses textes n’ont jamais prédit d’une quelconque fin du monde pour l’an 2000, pas plus qu’en 1999 ni pour 2012. Rien de prédit non plus, de la destruction des tours jumelles de New-York. La liste néo-contemporaine des prédictions qu'on lui attribue pour chaque année nouvelle qui s’annonce ou bien après coup, faussement et sans intérêt, serait ici bien trop longue à passer en revue. Cependant, il est incontestable que : Nostradamus s’est réellement prononcé sur le terrain très glissant d’un cataclysme géologique à caractère planétaire futur. Des précisions suffisantes d’un décor apocalyptique annoncé, prennent effectivement leur place dans la préface introduisant son corpus.

 

Cette préface se caractérise par une lettre expansive à l’attention première de son fils aîné, César. Un très jeune enfant, alors âgé de moins de trois ans au moment de l’écrit. Un paragraphe cataclysmique, qui, sans avoir à le retranscrire ici dans sa version originale écrite en vieux-moyen français, peut se résumer comme suit : 1 ) De très longues périodes de sécheresses . 2 ) L’alternance de pluies diluviennes. 3 ) Des pierres incandescentes frappant la terre. 4 ) La montée inexorable du niveau des mers, modifiant complètement la topographie existante. 5 ) En outre et pour conclure : que les terres encore émergées, longtemps cultivées par le passé, seraient majoritairement laissées à l’abandon, avec ce que cela laisse aussitôt supposer...

 

C'est là il va de soi, le point majeur entre tous de sa vision futuriste.

 

Néanmoins, si l’on s’en tient rigoureusement à son texte, dans les très rares dates ou temporalités de ci de là qu’il émet, les clés des déchiffrements des données numériques posées sur la « Table » par l'énigmatique rédacteur, n’ont jamais été découvertes.

C’est donc sur ce ring thématique peu banal, qu’après vingt ans de connaissance approfondie du sujet, je me décide d’entrer. Ceci, depuis la publication récente de mon livre : « Nostradamus énigme du midi et le mystère de Carcassonne ». Aussi, n’apprendrai-je à personne, qu’une cryptologie ( science du codage ) répond à des codes dont le concepteur reste immuablement le seul maître. Libre à lui de les concevoir et d’en user à sa guise, puis aux chercheurs d’en percer possiblement un à un les verrous.

 

Gardons à ce titre à l’esprit, qu’une des facettes inhérentes à l’art du camouflage en tout genre, consiste à disposer sur une surface ou un trajet, assez de leurres, capables de tromper tout chercheur même les plus chevronnés. Ce qui, dans le domaine de la cryptologie porte le nom savant de : la stéganographie. Un procédé de dissimulation varié et opaque, d’un message essentiel judicieusement tronçonné. Une technique de camouflage littéraire aussi ancienne que l’invention de l’écriture. Méthode qui selon moi, serait exactement celle pour laquelle aurait stratégiquement opté l’individu. Une analyse personnelle, qui va totalement à contre-courant des théories partisanes existantes, qui ont pour habitude constante, de considérer la totalité des quatrains rédigés par l’auteur comme paroles d’Evangile, sans imaginer un instant quel peut être l’art élémentaire d’un stratège afin de brouiller les pistes à long terme.

 

Nostradamus, à le lire, était visiblement persuadé que son propre fils César, était en mesure d’élucider par lui-même les "codes" au cours de sa vie.

 

Cette optique d’une possible découverte du code, constitue autant les premiers propos, que le dernier paragraphe de sa lettre d’introduction dédicacée à César. Hors, puisque son propre fils n’a jamais su en démêler par lui-même l’énigmatique écheveau, Nostradamus nous laisse entrevoir par ce biais, que cette compréhension tenait pourtant de l'ordre du possible pour qui aurait voulu s’y pencher. Car l’on ne voit raisonnablement pas, de quelles dispositions particulières aurait disposé son fils au cours de sa vie, dont n’aurait pas disposé le moindre de ses contemporains, doté d’un minimum d’esprit d’analyse, de science et raison.

 

Cependant, c’est là que le sujet se corse sous sa plume prolixe, puisqu’il émet à cela trois conditions inhérentes. 1 ) Des dispositions particulières de l’âme. 2 ) D’un ciel de naissance particulier, d’où l’on peut rapidement déduire, qu’il s’agirait probablement de conjonctions planétaires bien définies selon lui . 3 ) D’apparitions nocturnes, qui justifieraient puis agrémenteraient ensuite la longue étude nécessaire destinée à son décryptage. 

 

Ce troisième point, à caractère miraculeux évanescent, puisque Nostradamus l’évoque sous cet aspect monnaie courante somme toute à toutes les religions..., induit forcément qu'il aurait eu à le vivre de par et malgré lui, sans que cela ne repose sur un quelconque rituel magique alambiqué. Cet élément conditionnel, va donc totalement à l’encontre de l’imagerie traditionnellement véhiculée à son égard. Une imagerie qui le représente toujours penché au dessus d’une vasque remplie d’eau, dont il remue la surface avec une terminaison de branche ou baguette, pour en faire jaillir païennement ses visions sur l’onde aqueuse, agissant alors comme un miroir métaphysique des temps. Une interprétation relativement très simpliste à mon sens, puisqu’elle repose systématiquement sur l’interprétation commune depuis longue date des deux premiers quatrains, dont notamment le second.

 

Un second quatrain, où selon ses éminents traducteurs, il serait censé se décrire personnellement durant son procédé divinatoire. Pourtant et à contrario à mon sens, un seul mot présent dans cette strophe ( I-02 ), permet de rejeter immédiatement en bloc leurs théories descriptives obstinées, d’une pratique magique mise en oeuvre ici par l’auteur.

 

Les deux quatrains en question :

 

I-01

ESTANT assis de nuict secret estude,

Seul reposé sur la selle d’aerain :

Flambe exigue sortant de solitude,

Faict proférer qui n’est à croire vain.

 

I-02

La verge en main mise au milieu de BRANCHES,

De l’onde il moulle & le limbe et le pied :

Un peur et voix frémissent par les manches,

Splendeur divine. Le divin près s’assied.

Il suffit pourtant, de se pencher un court instant sur ce second quatrain, pour aussitôt comprendre pourquoi Nostradamus n'est pas là en train de se décrire lui-même. Moins d’une minute suffirait amplement pour en saisir immédiatement la raison. Et pourtant, cela fait plus de 450 ans qu’une interprétation complètement faussée perdure sur ces seules quatre lignes de vers.

 

Explication si besoin : Ce quatrain ne peut absolument pas concerner Nostradamus en action, pour la raison évidente qu’il emploie ici le pronom personnel : « il » ! « il » étant par définition une tierce personne, et non lui, sans quoi il aurait écrit : « Je » !!! Elémentaire n’est ce pas ? Les lecteurs qui ne connaissent que de très loin ce sujet, seraient surpris du nombre d’érudits qui communiquent dans leurs essais ou interviews, avec un avis interprétatif totalement erroné sur ce point.

 

C’était pourtant pas si sorcier à comprendre !

« La cerise sur la gâteau se pose toujours à la fin... ! »

 

Les clés du décodage du mystérieux agenda existent pourtant. Elles sont d’une évidence si flagrante, tout au moins pour celles qui caractérisent «La porte principale d’accès au labyrinthe», qu’il est à se demander, comment son code initial, tant structurel que terminologique, n’ait jamais sauté aux yeux des générations précédentes d’enquêteurs.

 

Ma méthode d’enquête :

 

S’il fallait la résumer succinctement, je dirais, que j’ai observé de «loin» ce que mes prédécesseurs ont observé de trop près, puis observé de très près, ce que mes prédécesseurs observèrent ou observent toujours de trop loin ( lettre au Pape et lettre à la reine publiées respectivement en 1562 et 1566 ).

En voici un seul exemple flagrant sur ma première approche que j'évoquais ci-dessus, après ce court rappel : Comme mentionné plus haut, son livre majeur est méthodiquement calibré. 10 chapitres comprenant 100 quatrains, hormis le septième resté incomplet, mais dont il affirme avoir parfaitement clôturé la milliade : les 1000.

 

Lui qui se voulait le chantre ultime et inspiré du devenir des temps, il opte pour un calibrage littéraire, qui correspond par analogie numérique et composite à un millénaire ! Un millénaire a bien ses 10 chapitres que sont ses 10 siècles. Et chaque siècle est bien divisé en 100 ans, tout comme le nombre de quatrains par chapitre. Soit tout à l’identique que sa composition littéraire !!! Elémentaire n’est ce pas ? ( pour ne citer ici que cette analogie dans ce cas spécifique ) Ne restait plus qu’à savoir si la piste était réellement la bonne, puis comment en user.

 

C’était donc là, par l’effet de cet ingénieux stratagème numérique ; la porte principale savamment camouflée, capable ensuite de pouvoir relier toutes les pièces attenantes d’un puzzle insoupçonné ou mal observé jusqu’alors. Et de poursuivre cette investigation un pas après l’autre.

 

Cependant, un langage futuriste, de composition cryptée ou pas, ne fait de quiconque un prophète sans la démonstration exigée qui s’impose, voire de préférence de poids. Et les faussaires souvent à pied d’oeuvre dans cet endémique domaine...

 

« Alors, penchons-nous sur une clairvoyance de poids suffisant, qui avec le recul nécessaire depuis, ne peut échapper à personne »

 

Lorsque Michel de Nostredame, clôture en 1558, la 3ème partie de sa trilogie par le quatrain qui suit ; il ne croit pas si bien dire.

 

X - 100

Le grand empire sera par l’Angleterre ,

Le pempotam des ans plus de trois cens :

Grandes copies passer par mer & terre ,

Les Lusitains n’en seront pas contents .

F I N

 

“Il ne croit pas si bien dire” disais-je, puisque sur cette vision, une affirmation non des moindres au regard de la grande histoire des nations après lui, qu’il réserve de façon presque péremptoire au couplet final de son corpus majeur prophétique, le futur après lui, lui aura visiblement “ô curieux hasard”, complètement donné, totale “science” et raison.

 

Comprenons :

 

Le futur grand empire sera l’Angleterre ,

Le plus puissant des ans de plus de trois cent ans :

De grands échanges (ou influences) circuleront par mers et par terres ,

Les Portugais n’en seront pas contents .

 

Nota : “Pempotam” est ici un néologisme, soit la création d’un terme à la convenance personnelle de son concepteur. Ici le jumelage d’un terme Grec et Latin, pour signifier : Le plus puissant. “Lusitains” désigne globalement les Portugais dans leur ancienne dénomination ( La Lusitanie incluant le Portugal ainsi qu’une partie du l’ouest de L’Espagne ; d’où les Lusitaniens ou les Lusitains ) .

 

Qu’il en soit ainsi du devenir de l’Angleterre, ne serait-ce que pour une durée future de quelques décennies seulement, n’était en rien envisageable du vivant de l’auteur, pas plus que plusieurs décennies plus tard, soit dit en passant. A moins, bien entendu, de lancer un pari plus que hasardeux à la cote de 4 contre 1. Ceci, compte tenu des prétendants à la suprématie mondiale déjà en marche, depuis la découverte du nouveau monde en 1492. Et si l’on ne tient en compte dans ce pari relativement risqué, que les nations européennes disposant d’une flotte maritime et ambition adéquate.

 

Cerise sur le gâteau ; nous avons sous les yeux une période bien déterminée de 300 ans et plus ( des ans plus de trois cens ) .

 

En 1558, lors de la clôture datée de son curieux ouvrage, l’Espagne et le Portugal caracolent largement en tête dans la course constitutive de nouveaux empires émergents. La France et les Pays-bas, pris de court par les deux royaumes Ibériques, entrent dans la première moitié du 16ème siècle dans ce nouveau défi de découvertes et d’appropriations territoriales lointaines. L’Angleterre est encore très éloignée de ces préoccupations expansives, puisque très divisée sur ses propres terres sur sa destinée politique. Et l’idée seulement, du futur Royaume-Uni, unissant l’Angleterre, le Pays de Galles, l’Ecosse et l’Irlande, non encore à l’ordre du jour.

 

En optant pour cette vision conclusive, Nostradamus fait preuve ici, d’une indéniable conviction d’augure à dimension géographique internationale, et rien d’un banal courtisan abscons. Pas plus que d’un obscur médecin-astrologue, polichinelle téléguidé par la couronne de France dans la poursuite de ses propres intérêts étatiques.

Ces seuls propos présents en X - 100, eurent, si l’on se replace un court instant dans le contexte de l’époque, à sonner comme une provocation insupportable, face aux intérêts contingents du royaume de France, dont le médecin Provençal était lui-même sujet. Une conclusion, réservant la part belle annonciatrice, à son plus proche rival des siècles passés : L’Angleterre, cause de la guerre dite de cent ans, dont la rivalité tenace était encore dans tous les esprits.

 

Il est historiquement bien établi, que Nostradamus, eut dès le début, en 1555, le soutien du roi de France, Henri II, ainsi que celui marqué de son épouse, Catherine de Médicis. A la mort accidentelle du roi en juillet 1559, c’est Catherine qui peu après est proclamée Régente de France. Celle-ci tiendra ferme dans son soutien sans faille envers celui souvent qualifié de nos jours, de Mage de Salon-de-Provence. Ville où il rédigea ses textes concernés, et non seulement que ceux-ci... pour ensuite les faire imprimer systématiquement à Lyon.

Henri II  et  Catherine de Médicis

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Mai 2016 : Interview par Jérôme Gluzicki, dans le cadre du 4ème volet de "La France des Mystères", prochainement diffusée sur RMC découverte.

Août 2016 : Parution d'un article dans le N° 86 du magazine "TOP SECRET".

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